Ils ont passé le Concours Advance

Découvrez les témoignages d’étudiants de l’EPITA, de l’ESME, de l’IPSA et de SupBiotech qui ont passé le Concours Advance.

Ils vous parlent de leur expérience du concours, de ce qu’ils aiment dans leur école, de leur vision du métier d’ingénieur.e et vous donnent leurs conseils. Découvrez tous les témoignages de nos étudiants sur notre chaîne YouTube.

Léa, en 1re année à l’EPITA
Dina, en 1re année à l’EPITA
Anaïs, en 1re année à l’ESME Paris
Anaïs, en 1re année à l’ESME Paris
Mathis, en 1re année à l’ESME Lyon
Maya, en 1re année à l’ESME Bordeaux
Héloïse, en 1re année à l’IPSA Paris
Yanis, en 1re année à l’IPSA Paris
Charlilou, en 1re année à SupBiotech
Carla, en 1re année à SupBiotech
Loai, en 1re année à SupBiotech

Le Concours Advance, une affaire de famille !

Découvrez les témoignages de nos binômes parents-élèves.

Véronique Picquet et Julie Lubet en 2ème année du cycle préparatoire à l’EPITA.

Véronique, avez-vous senti votre fille bien s’intégrer à l’EPITA ?
Mes filles, puisque la sœur de Julie est aussi à l’Epita, n’ont eu aucun problème d’intégration. Cette école est très attentive aux filles.
L’état d’esprit est beaucoup moins compétitif que pour une prépa générale, il y a de l’entraide et du soutien.
L’organisation avec la présence “d’étudiants assistants” pour les aider est importante.

Julie, quels conseils donnerais-tu à une fille qui souhaiterait entrer à l’EPITA ?
N’ayez pas peur ! Les filles ont les mêmes chances que les garçons et nous sommes vraiment bien intégrées. Cette école offre un large choix de majeures et d’évolution vers des domaines très différents.

Floris Lunshof et Matthys Lunshof, double diplômé ESME et CentraleSupélec (Promo 2021) et actuellement Responsable d’affaires grands projets chez Eiffage Energie Systèmes.

Floris, avez-vous conseillé votre fils dans le choix d’une école d’ingénieurs généraliste ? Pourquoi ?
Durant son année de terminal, nous avons participé ensemble à différents salons où j’ai pu, en effet, lui apporter mes conseils sur son orientation que j’imaginais la plus généraliste possible dans le domaine de l’ingénierie. C’était pour moi un cursus qui lui correspondait et lui permettrait d’affiner son orientation au cours de ses premières années.

Matthys, si on avait posé la question à tes parents sur le métier que tu allais occuper après ton diplôme, penses-tu qu’ils t’auraient vu à ton poste actuel ? Pensais-tu toi-même exercer ce métier quand tu as intégré l’ESME ?
Je ne pense pas qu’ils m’auraient vu exercer mon métier actuel (Responsable d’affaires grands projets), car moi-même je l’ignorais. Je suis surtout entré dans une école d’ingénieurs généraliste car je ne savais pas encore exactement ce que je voulais faire mais je voulais me baser sur des cours concrets. Et c’est exactement ce qui s’est produit, j’ai pu choisir mon orientation vers le domaine de l’énergie tout long de ma scolarité et ce jusqu’à ma spécialisation en énergie renouvelable et smart-grid (réseaux intelligents).

Parents de Maxime Le Moal, étudiant à l’IPSA en première année du cycle préparatoire.

Lorsque votre fils vous a annoncé qu’elle/il souhaitait poursuivre ses études dans une école d’ingénieurs, comment avez-vous réagi ? Aviez-vous peur que la marche soit trop haute en fonction des résultats qu’il obtenait au lycée ?
La plateforme Parcoursup était très bien faite et nous a permis d’aborder l’orientation de notre fils sans stress aucun.
Les formations sont très bien expliquées ainsi que les critères d’évaluation et de sélection.

Lorsque notre fils nous a exprimé le souhait de faire une école d’ingénieurs avec prépa intégrée suite à une présentation qu’il a eu dans son lycée, nous étions confiants dans sa capacite à réussir à la vue de son dossier en adéquation avec les critères de sélection exposés. Nous avons pu l’inscrire a des journées de préparation au concours, ou consulter les vidéos ou les annales sur les sites internet des écoles sélectionnées.

Nous avons pu accompagner notre fils dans toutes la démarche du dossier Parcoursup (relecture de la lettre de motivation notamment). Lorsque les résultats ont été publiés nous avons été vite soulagés car il a été accepté dans plusieurs de ses choix. Nous avons donc juste du attendre quelques semaines afin qu’il progresse dans la liste d’attente de son choix numéro 1 qui était l’IPSA cycle anglophone. Quelle joie lorsque son premier choix a été confirmé.

Quels changements avez-vous perçus chez votre enfant à partir du moment où il a intégré l’IPSA ?
Depuis que Maxime a intégré l’IPSA, il est extrêmement heureux et motivé par son choix. Tout lui plait dans cette école : les cours, les locaux, et la possibilité de participer aux journées portes ouvertes ou les salons étudiants pour faire la promotion de l’IPSA. Il a gagné en maturité et en autonomie. Au global c’est donc une expérience positive, depuis la démarche Parcoursup jusqu’à l’intégration à l’IPSA !

Maxime, comment expliques-tu que tu as de meilleurs résultats en cycle préparatoire d’une école d’ingénieurs qu’au lycée ?
Lorsque j’ai été accepté à l’IPSA (en cycle anglophone), toute ma famille était ravie pour moi, même si cela impliquait que je déménage à 500 km. Mes premiers mois à l’école se passent vraiment bien même si le niveau n’est pas le même. Je ressens en effet une grosse différence entre le niveau ici et le niveau au lycée mais lorsque l’on fait quelque chose que l’on aime, la charge de travail semble moins importante. Je me suis aussi fait de très bons amis qui me permettent detravailler en équipe, ce qui me motive encore plus. D’ailleurs, cela explique en partie le fait que mes notes des premiers DS et partiels soient tout à fait acceptables et ne me déçoivent pas.

Olivier Giraud et sa maman, SupBiotech

Quelle a été votre réaction quand votre fils vous a annoncé qu’il souhaitait intégrer une école d’ingénieurs privée ? Et quelle solution avez-vous trouvée ensemble pour financer les frais de scolarité ?
Nous ne nous sommes jamais posé la question d’une école publique ou privée. L’important était que notre fils trouve une école ou une faculté qui lui convienne et qui le prépare au mieux à son objectif professionnel. Son choix s’est porté sur Sup’ Biotech qui cochait toutes ses cases d’exigence : travailler dans la biotechnologie et la préparation d’un diplôme d’ingénieur. 
Nous l’avons accompagné dans la préparation du concours et avons été très heureux pour lui lorsqu’il a été accepté dans l’école de son choix.

Concernant le financement de la scolarité, nous avons contracté un emprunt étudiant auprès d’une banque qui a un partenariat avec SupBiotech à un taux très avantageux. 

Olivier, pourquoi avoir choisi une poursuite d’études qui impliquait des frais de scolarité plutôt qu’un autre parcours dans le public ?
Pour moi, une école privée est un premier gage de qualité de l’enseignement et de l’accompagnement des élèves. De plus, SupBiotech est l’une des rares parmi les écoles en biotechnologies à proposer le cycle prépa intégré. Donc, quitte à s’inscrire dans un établissement pour un minimum de 5 ans, autant aller dans une bonne école qui nous ouvre des portes. C’est pour cela que je me suis dit que, certes c’était un investissement pour ma famille, mais qu’il serait très rapidement rentabilisé.

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